ÉDITIONS DEMI-LUNE
ÉDITIONS DEMI-LUNE
Titre : Agent Orange, Apocalypse Viêt Nam
Auteur : André Bouny
N° ISBN : 978-2-917112-11-3
André BOUNY est né handicapé, atteint de spina-bifida, dans la campagne pauvre du sud de la France. Suivant des études paramédicales (en odontologie) à Paris, il proteste contre la guerre qui fait rage au Viêt Nam, dans la rue et par ses peintures exposées au Grand Palais.
Ému par la découverte de ce pays ravagé par la guerre, où il rencontre mutilés et malades, il fonde en 1997 l’association caritative DEFI Viêt Nam, (Donner Ensemble Former Informer), qui s’engage également dans la campagne contre les mines antipersonnel. Quelque 300 tonnes d’équipement médical, recueillies et mises en conformité, sont expédiées par bateaux (électrocardiographes, lits médicalisés, fauteuils roulants, à destination de services de chirurgie et de radiologie, de maternités, cabinets dentaires, etc). L’association à but non lucratif pourvoit aussi à la formation de personnel médical vietnamien en France, facilite le parrainage d’enfants (une petite fille issue d’une famille misérable est récemment devenue institutrice) ; informe sur l’Agent Orange et distribue des aides aux victimes de ce poison chimique contenant de la dioxine.
André enchaîne les voyages au Viêt Nam où il adopte deux enfants. En 2004, il adresse une lettre ouverte à John Kerry, diffusée dans la presse internationale. Puis il constitue et conduit le Comité International de Soutien aux victimes vietnamiennes de l’Agent Orange (CIS) qui comprend de très nombreuses personnalités dans des domaines d’expertises variés. Infatigablement, il explique les conséquences de ce poison dans tous les médias qui osent en parler (radios, télés, journaux et sites Internet). Il est intervenu lors des trois éditions des Rencontres Internationales pour le Désarmement Nucléaire, Biologique et Chimique (RID-NBC), mais aussi en d’autres lieux prestigieux comme la Cité de l’Espace, et même à l’ONU lors de la 4e session du Conseil des Droits de l’Homme.
Son livre se fonde sur 40 ans d’expérience et d’intérêt porté au peuple et à la culture du Viêt Nam, comme à son histoire.
Si un jour existe une unité capable de mesurer la douleur et la souffrance, elle devra s’appeler Viêt Nam.
Préface de Howard ZINN
Avant-propos de Maître William BOURDON
Nombreuses photographies d’archives & cartes,
ainsi que des images récentes de très grands photojournalistes...
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Si l’histoire de l’utilisation des poisons, (venins et toxiques) remonte à la nuit des temps, la synthèse chimique a permis d’en démultiplier les effets maléfiques. Il est un fait largement ignoré que la guerre du Viêt Nam fut la plus grande guerre chimique de l’histoire de l’Humanité. L’objet de ce livre est d’expliquer précisément comment et pourquoi. On y apprend de quelle façon, aujourd’hui encore, un demi-siècle après le début des épandages, la dioxine pénètre dans l’organisme, quelles maladies elle engendre, et les terribles effets tératogènes qu’elle inflige aux enfants.
La description scientifique des agents chimiques utilisés est aussi précise que la technologie méthodique mise en œuvre. Celle de l’effroyable catastrophe écologique fait prendre conscience que la destruction du règne végétal précède et précipite une dévastation plus terrible encore.
Les nombreuses photographies exceptionnelles, signées de très grands noms, illustrent l’ampleur de la tragédie actuelle. Cartes géographiques, documents d’archives inédits et témoignages états-uniens viennent démontrer l’intentionnalité de ce véritable écocide. L’auteur propose en outre un nouveau calcul renversant du volume des agents chimiques déversés au Viêt Nam. Dans cet ouvrage exhaustif, il aborde la partie juridique avec les procédures intentées au nom des victimes vietnamiennes dans un total silence médiatique.
À l’image du Tribunal international d’opinion qui s’est tenu en 2009 à Paris, ce livre a pour but d’informer le public, premier pas d’une prise de conscience sur la route de la réparation des torts et des souffrances, car il existe aussi un espoir…
Un document bouleversant, comme l’Histoire officielle ne la raconte jamais, pour comprendre l’ampleur de la tragédie que vivent au quotidien une multitude de victimes de l’Agent Orange.
« C’est un crime hideux. »
- Noam CHOMSKY, membre du Comité International de Soutien aux victimes de l’Agent Orange
Fiche technique
À NOTER !
Agent Orange, Apocalypse Viêt Nam choisi par la rédaction de la Revue écologiste S!lence , qui en a fait son "Livre du Mois", (N°382, de Septembre 2010).
LU DANS LA PRESSE...
« La documentation réunie est impressionnante , ... une véritable mine de renseignements. »
- Dominique BARI, journaliste, L'Humanité (du jeudi 9 septembre 2010).
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« Un réquisitoire implacable fondé sur des faits et des témoignages... »
- Yves HARDY, dans le mensuel Alternatives Internationales (N°48, de septembre 2010).
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« Un livre en tout point remarquable... »
- Fabrice NICOLINO, journaliste, militant écologiste et auteur, sur le site Bakchich Info.
Voici les réactions enthousiastes des premières personnalités à qui nous avons soumis le texte ou la maquette du livre avant parution. Nous en ajouterons d'autres au fur et à mesure de leur réception. Mais votre avis de lecteur nous intéresse également ! N'hésitez pas à écrire et à nous envoyer votre propre commentaire...
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« Il n’y a peut-être aucun langage réaliste suffisamment puissant pour traduire les horreurs de la guerre du Viêt Nam (le bombardement des villages, la destruction de l’habitat rural, le massacre de millions de gens, la dévastation d’un paysage magnifique, les effets cruels de l’Agent Orange sur les adultes et les enfants). Toutefois, nous l’avons vu à travers l’Histoire, la littérature s’est révélée indispensable pour donner à comprendre et percevoir, d’une manière profonde et émotionnelle, une réalité qui semble impossible à décrire dans le langage ordinaire. C’est pour cette raison que nous accueillons ici le livre d’André Bouny. Il constitue une contribution unique au grand ensemble de la littérature engendrée par la guerre du Viêt Nam. »
- Howard ZINN, historien et intellectuel, (tiré de la préface).
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« André Bouny a écrit un ouvrage complet qui replace la mise au point et l’utilisation des quantités massives d’Agent Orange pulvérisées entre 1961-1971 dans le contexte plus large de l’histoire du Viêt Nam et des longues années que dura ce conflit. Il offre également au lecteur une vision plus générale de la politique belliciste menée avec les herbicides et d’autres substances chimiques, et des nombreuses batailles juridiques qui se poursuivent aujourd’hui encore au sujet des produits chimiques. Son travail intègre de manière admirable les données scientifiques, politiques et historiques sur ce lugubre chapitre de l’histoire humaine. »
- Jeanne Mager STELMMAN, professeur de chimie physique, spécialiste de la santé et de la sécurité au travail, rédactrice du rapport le plus récent et complet sur l’Agent Orange.
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« Les toxiques défoliants, dont l’Agent Orange, qui furent déversés massivement sur le Sud-Viêt Nam pendant la guerre américaine et qui contenaient de la dioxine, ont ravagé les écosystèmes naturels, et par voie de conséquence les équilibres de la vie de l’homme dans la région. C’est la première guerre chimique de l’histoire, la seule de cette ampleur qu’ait connue le monde à ce jour. Les effets principaux furent un bouleversement étendu, durable et sévère, des zones forestières et des terres cultivés, base essentielle pour une société agricole. Les effets de la dioxine ont poursuivi leur œuvre de destruction dans le silence et à long terme, tant sur les populations que sur l’environnement. En tant que scientifique, j’espère que ce livre de l’auteur André Bouny, peut-être le plus complet qui existe sur l’Agent Orange, sera un nouveau signe pour condamner l’usage des défoliants au Viêt Nam et pour alerter la conscience d’une humanité qui continue à être confrontée à la violence.»
- Vo QUY, ornithologue et écologue vietnamien.
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« J’ai rencontré André Bouny à l’occasion d’un rassemblement contre le développement des armes nucléaires. Comme moi, il est sensible aux conséquences néfastes que peuvent engendrer des technologies meurtrières, et le cas des victimes des essais nucléaires français nous a rapproché dans nos combats.
Alors même que nos gouvernants tentent de nous faire croire que nous tendons vers une pacification du monde – via la dénucléarisation de notre armement – les armes chimiques continuent de proliférer. Sous couvert de ne pas utiliser l’arme atomique, l’on développe des armes bactériologiques, chimiques ou à l’uranium appauvri tout aussi effroyables.
Concernant l’Agent Orange, ses conséquences sanitaires et environnementales sont loin d’être finies. Mais si l’on ne peut plus sauver la vie de ses victimes, nous nous devons au moins de dénoncer leurs bourreaux, ces mêmes marchands de mort qui recyclent et commercialisent leurs armes sous la forme de différents types de biocides grand public.
La mémoire des hommes étant courte, il est indispensable de rappeler les horreurs d’autrefois – au travers de témoignages authentiques et détaillés – afin que nous les empêchions de se reproduire. En ce sens, je pense qu’André a réussi son pari et je l’en félicite : son livre permet d’apporter une nouvelle lumière sur les heures sombres de notre passé. »
- Michèle RIVASI, professeur agrégée de biologie, fondatrice de la CRIIRAD, députée européenne.
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« Si le moindre doute subsistait quant à savoir si l’usage de l’Agent Orange, ce défoliant contenant de la dioxine, pendant la guerre du Viêt Nam constitue un crime de guerre abominable, cet ouvrage complet et passionnant d’André Bouny le fera taire à jamais. Depuis plus de 30 ans, à travers son art, son écriture, et la voix de son activisme politique, André Bouny s’élève avec passion, de manière franche et sans détours, contre ce crime de guerre impuni afin de rendre justice aux victimes de l’Agent Orange. Aujourd’hui, André est sans doute la plus grande source d’informations sur le sujet ; il a synthétisé sa profonde faculté d’analyse et de compréhension en un récit captivant. S’il existe une justice humaine universelle, le recours à la guerre chimique la viole incontestablement. »
- Leslie WIENER, documentariste et réalisatrice de Agent Orange, une guerre sans fin.
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« (…) André Bouny est un juste. Il fait partie de ces rares humains qui, par l’authenticité de leur engagement et une capacité d’obstination sans limite, font constamment bouger les lignes et permettent surtout à des victimes muettes d’être identifiées pour ce qu’elles sont par le plus grand nombre. Il est le mandataire formidable, ce livre en est l’illustration, des victimes vietnamiennes d’une des plus grandes tragédies du siècle dernier : elles méritent que leur parole soit portée universellement, et elles mériteraient tout autant que leur affliction soit reconnue par un juge national ou international. Ce livre, en forme de coup de colère, est de loin le plus complet que je connaisse sur le sujet, et surtout un précieux témoignage de l’immensité des souffrances causées par les ravages de l’Agent Orange que l’armée américaine utilisa lors de la guerre du Viêt Nam entre 1961 et 1971. (...) »
- William BOURDON, avocat et militant des droits de l’Homme, (extrait de l’avant-propos).
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« La méconnaissance du problème de la dioxine, substance chimique effroyablement toxique, ajoutant sa nocivité et sa persistance aux dégâts de l’Agent Orange utilisé lors de la guerre du Viêt Nam est immense, étonnante, chez beaucoup de gens de tous milieux sociaux. André Bouny, que j’ai l’honneur de connaître, a écrit une œuvre maîtresse sur ce sujet qui n’a jamais été traité de manière aussi complète, aussi documentée, depuis le savoir de pure chimie et les techniques d’emploi de ces armes de guerre, jusqu’aux aspects politiques et militaires et aux retombées médicales, sociales, économiques, juridiques et morales, précoces ou tardives. Le livre de ce Juste est un cri d’horreur, d’effroi, de colère en adéquation parfaite avec sa vie personnelle et ses engagements familiaux. L’analogie des dommages majeurs provoqués par l’Agent Orange couplé à la dioxine avec ceux occasionnés par d’autres produits tant militaires que civils est frappante. La qualité du texte, la présentation de ce livre, le soin apporté à la reproduction de documents divers, de photos et de cartes, sont remarquables. »
- Jean MEYNARD, médecin, vice-président de l’association française Vietnam, les Enfants de la Dioxine", et coauteur du livre Agent Orange, Crime d’hier, tragédie d’aujourd’hui.
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« "La conscience de l’humanité est profondément troublée par la guerre qui se poursuit au Vietnam, et qui oppose le plus riche et le plus puissant État du monde à une nation de paysans pauvres en lutte pour son Indépendance depuis un quart de siècle" (Tribunal Russell, Londres, le 15 novembre 1966). À l’époque en effet, la "guerre du Vietnam" suscitait l’indignation de tous les hommes attachés à la liberté et au respect des peuples et de la personne humaine. Alors que les combats sont terminés depuis 35 ans, on pourrait penser que "la conscience de l’humanité" s’est émoussée en constatant le silence qui entoure un prolongement tragique de cette guerre : le drame de l’Agent Orange. C’est le premier mérite de l’ouvrage d’André Bouny de rompre ce silence. Rares sont en effet les livres sur cette question, notamment en français, et celui-ci vient enrichir notre connaissance et notre réflexion sur ce drame. Le second mérite est évident à la lecture de cet ouvrage : il traite de façon très complète l’ensemble des dimensions d’un drame très complexe où s’imbriquent sans cesse les aspects les plus divers : historique, scientifique, sanitaire, environnemental, politique, juridique, diplomatique, etc. N’étant ni historien, ni biologiste, ni environnementaliste, ni juriste, je ne peux porter de jugement sur ces différents aspects, mais je veux dire, ayant une certaine connaissance du dossier, que je ne peux qu’approuver le plaidoyer et les conclusions de l’auteur.
Enfin, le livre se lit avec un intérêt constant grâce à un style alerte, soutenu par l’engagement assumé de l’auteur auprès des victimes et du peuple vietnamien et par une iconographie qui ne peut laisser indifférent.
Il faut donc souhaiter un plein succès à cet ouvrage pour qu’il contribue à lever la chape de plomb qui règne sur l’Agent Orange et à mobiliser l’opinion publique sur la question. »
- Francis GENDREAU, démographe, ancien président de l’association d’amitié franco-vietnamienne (AAFV), et coauteur du livre Agent Orange, Crime d’hier, tragédie d’aujourd’hui.
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« Ce livre, incroyable et troublant, est une analyse remarquable des conséquences génocidaires de l’Agent Orange fabriqué, entre autres, par la transnationale Monsanto. Les photos révèlent l’horreur de l’Agent Orange, images que beaucoup de gens préféreraient ne pas regarder, illustrant ainsi l’un des plus grands crimes contre l’humanité. À la fois critique et conscient, André Bouny explique, non sans émotion, comment ce crime s’est accompagné de la destruction systématique de tout un territoire. Il décrit l’histoire de ce poison et d’une guerre atroce en nous faisant comprendre que les fabricants américains ont vendu en pleine connaissance de cause cette "arme de la mort" volontairement utilisée par les ingénieurs chimistes des laboratoires militaires US durant la guerre du Viêt Nam. Le gouvernement états-unien connaissait-il les conséquences désastreuses de cette arme chimique ? Ce livre révèle également le long combat pour rendre justice aux millions de victimes de l’Agent Orange... Il faut absolument lire ce livre ! »
- Micheline LADOUCEUR, directrice associée du Centre de recherche sur la mondialisation, rédactrice pour le site Mondialisation.ca .
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« Il s’agit d’une étude détaillée et soigneusement documentée mettant en relief non seulement les crimes de guerre commis par les États-Unis au Viêt Nam, mais également la complicité des compagnies impliquées dans le développement de cette arme chimique. »
- Michel CHOSSUDOVSKY, professeur émérite de sciences économiques, auteur et consultant international, directeur du Centre de recherche sur la mondialisation.
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« J’ai vécu en témoin puis en acteur cette guerre totale aux effets dévastateurs terrifiants. J’ai participé à la résistance aux côtés des victimes enfin vainqueurs au prix de sacrifices sans nom. Aujourd’hui devenu citoyen vietnamien, je mesure encore plus l’étendue de la blessure béante que la dioxine maintient au cœur des populations de ce pays. La menace quotidienne qu’elle représente pour les enfants de la paix. Le livre d’André Bouny est admirable par sa vérité, la richesse et la précision des informations qu’il nous expose, la rigueur de ses analyses. Il fait partie des ouvrages majeurs sur cette tragédie. C’est sans aucun doute un acte d’accusation implacable pour les responsables civils et militaires de ce crime atroce, un appui essentiel pour tous ceux qui dans le monde n’oublient pas les victimes vietnamiennes et américaines, qui veulent briser le silence des cimetières et en finir avec la raison du fusil. »
- André MENRAS, enseignant à la retraite et résistant anti-impérialiste à la guerre du Viêt Nam.
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« Ce nouveau livre, Agent Orange - Apocalypse Viêt Nam, raconte l’histoire d’un grand crime. Ce crime, commis il y a longtemps par les États-Unis, constitue encore de nos jours un bien triste héritage. André Bouny enquête depuis des années sur le sujet, et témoigne à destination de l’opinion publique afin d’obtenir justice pour les victimes de la contamination par l’agent orange. Son livre, à la documentation superbe, doit être lu si l’on veut que le monde reconnaisse le préjudice honteux fait au peuple vietnamien. En un sens, la guerre continue encore. Les souffrances de la population ne doivent pas être ignorées, et le gouvernement américain doit répondre de ses crimes contre l’humanité. »
- Bruce K. GAGNON, coordinateur du Réseau global contre la Militarisation et la Nucléarisation de l’Espace.
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« Quand j’ai rencontré André Bouny, je ne savais pas grand chose de la catastrophe qu’avait subie le Viêt nam du fait des épandages délibérés de l’Agent Orange par l’armée américaine. Je me souviens avoir été impressionné par le bonhomme, et avoir ressenti une certaine tristesse à l’idée que tant de détermination et de générosité, au service d’un combat si juste, ne trouvent pas davantage d’écho dans le débat public. André semblait alors prêcher dans le désert... Que de chemin parcouru, jusqu’à ce livre puissant, bouleversant d’humanité et néanmoins d’une rigueur à l’épreuve des plus sombres dénis ! Nul doute que cette contribution majeure fera date dans le combat pour la reconnaissance des victimes de cette guerre épouvantable, et servira, au-delà, la cause de tous ceux qui luttent pour empêcher, puis punir, les fauteurs de guerre et les industriels qui leur prêtent assistance. »
- Xavier RENOU, ancien chargé de la campagne Désarmement nucléaire à Greenpeace France, fondateur des Désobéissants
« La politique de la "terre brûlée" dans le but de décourager l’adversaire, voilà une vieille recette que les Occidentaux ont perfectionnée au cours de leurs guerres coloniales. "Only we can prevent forests" était la devise de l’US Air Force à l’époque de la guerre du Vietnam, rapportait le journaliste Robin Clarke en 1971. Considérer les civils comme un objectif à part entière, la deuxième guerre mondiale l’a illustré. Le recours aux armes de destruction de masse (Hiroshima/Nagasaki) préfigure les guerres contre les générations futures. Triste ironie de l’histoire, les armes dont il est question ici sont des dérivés de ce qui symbolisait un certain type de "développement", comme dans le cas des herbicides, censés augmenter la productivité de nos terres agricoles, contribuer à cette "révolution verte" qui s’est vue décerner un prix Nobel de la paix. Merci à André Bouny de réunir toute l’info aujourd’hui disponible.
Faire en sorte que ce genre d’écocide et de destruction durable ne passe pas inaperçus est un défi à relever. Déjà en 1992, lors de la première conférence de révision du Traité ENMOD (1978) à Genève, les États signataires ont rédigé et approuvé un texte qui dit bien que "l’usage des herbicides (…) en tant que méthode de guerre appliquant une technique modifiant l’environnement est interdite si l’emploi des herbicides bouleverse l’équilibre écologique d’une région (…) Mais ce traité de 1977 – le premier à lier désarmement et environnement n’a pas été signé ou ratifié par la France (toujours pas en 2010 !) Pas plus que la convention sur les armes chimiques, ENMOD n’interdit la fabrication ou la possession d’herbicides !
Rares sont les [auteurs] français comme André Bouny à ne pas exonérer le complexe militaro-industriel et militaro-chimique des dégâts environnementaux. »
- Ben CRAMER, journaliste, vice-président de l’Association des Journalistes pour l’Environnement.
« Je suis très heureux que cet ouvrage ait vu le jour. Je dois féliciter l’auteur, M. André Bouny, pour son travail remarquable, qui présente de manière exhaustive le sujet de l’Agent Orange/Dioxine, et la dévastation que son utilisation excessive et parfaitement injustifiée a causé au Viêt Nam, aussi bien au pays qu’à son peuple, et aux générations futures. Cela ne pouvait être réalisé que par une personne comme M. Bouny, tout entier dédié à aider les enfants vietnamiens. Mais cela n’aurait pas été possible sans le soutien de l’éditeur… Je souhaite à ce livre un franc succès et je sais que l’auteur continuera sa mission avec l’énergie et le dévouement qui le caractérise… »
- Jitendra SHARMA, juriste, avocat à la Cour suprême de l’Inde.
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« ... J'ai trouvé ce livre formidable et indispensable. L'un des meilleurs travaux que j'ai lus sur le sujet... »
- Laurence JOURDAN, journaliste et documentariste, auteur de Agent Orange, Retour en enfer.
NOUVEAU :
Visitez le site Agent-Orange-Vietnam.org dont s'occupe l'auteur, et qui fait le point sur toute l'actualité sur ce sujet, et regroupe également de nombreuses archives; un site qui devrait devenir une référence...
Alors que l'utilisation d'armes chimiques dans le conflit qui frappe la Syrie fait l'objet de toutes les attentions médiatiques, l'usage pendant plus de 10 années consécutives de l'Agent Orange au Vietnam, par l'armée américaine, reste quasiment inconnu de nos concitoyens... Nous nous félicitons donc de la sortie d'un nouveau film documentaire sur les terribles conséquences de ce défoliant utilisé comme une arme de guerre.
La bande-annonce du documentaire Agent Orange, une bombe à retardement :
Vous pouvez vous procurer le DVD du film directement sur le site de son courageux distributeur, Doriane Films.
****** Un livre jugé "indispensable" par France-Inter.
Écoutez l'émission de Patrick Pesnot dans l'onglet "Presse et Médias" en haut de page.
***** Transversales, l'émission de reportages de la rédaction de la RTBF, la première chaîne de radio nationale belge, a diffusé un long et remarquable travail sur les conséquences de l'épandage des défoliants chimiques, à une heure de grande écoute (le samedi de 12 à 13 heures). Le reportage se base en grande partie sur le livre d'André Bouny, qui est par ailleurs interviewé, de même que le photographe belge Olivier Papegnies... Les radios françaises oseront-elles également s'intéresser à ce gigantesque problème écologique et sanitaire, doublé d'un immense scandale judiciaire, dans un futur proche ? Nous l'espérons, mais nous sommes malheureusement sceptiques... En attendant que les journalistes français fassent leur travail d'information, nous vous invitons à écouter l'émission de ces courageux reporters belges, sur un auteur français publié par un éditeur français (!) ... Elle est également archivée dans l'onglet "Presse et Médias"). Un grand bravo à MM. André Zaleski, Marc Molitor, Jean-Marc Turine, Ludovic Vanpachterbeek et Irvic d'Olivier.
**** Après la diffusion d'un premier reportage sur son livre dans le JT régional (Quercy-Rouergue) de France3, André Bouny est l'invité de l'émission "Le Grand Témoin du Dimanche Soir", sur France3 Sud, le dimanche 21 novembre, de 19 à 20 heures.
*** Cet ouvrage a été choisi par la rédaction de la Revue écologiste S!lence, qui en a fait son "Livre du Mois",
(N°382, de Septembre 2010).
** La Fondation GoodPlanet de Yann Arthus-Bertrand, offre une tribune libre à André Bouny pour parler de l'Agent Orange: cliquez ici pour la lire en français, et là pour la lire en langue anglaise.
* À lire également l'interview de l'auteur par Silvia Cattori : "La guerre du Viêt Nam continue : l'Agent Orange tue encore".
- Déclaration de Tong Thi Phong, la Vice-présidente de l’Assemblée Nationale du Viêt Nam, au sujet de l’Agent Orange, le 27 mai 2010, citée dans le Courrier du Vietnam du 28 mai 2010 :
« Il existe actuellement plus de 4 millions de personnes infectées par ce défoliant »
- Tong Thi Phong, Vice-présidente de l’Assemblée Nationale du Viêt Nam.
Nous vous invitons à vous informer des actualités en lien avec ce sujet sur le site
Agent-Orange-Vietnam.org
* N'hésitez pas à partager ces informations le plus largement autour de vous pour faire connaître cette réalité...
Retrouvez toutes les informations sur cette page (et plus encore) dans le dossier de présentation du livre, en cliquant ici.
En cliquant sur les liens ci-dessous, vous accédez à la galerie des photographies de 2 des 4 photoreporters dont les travaux illustrent le livre Agent Orange, Apocalypse Viêt Nam:
* Le travail d'Olivier Papegnies au Vietnam.
** Et ici, aux Etats-Unis.
*** Et encore, le reportage d'Alexis Duclos au Vietnam.
NB: Attention, certaines images sont difficiles à regarder...
L’Agent Orange constitue un drame immense, et oublié.
Qui connaît les conséquences de l’épandage de cet herbicide pendant la guerre du Viêt Nam ? Et qui s’en soucie réellement ?
À l’heure où l’on parle partout dans les médias et jusque dans les partis politiques de protection de l’environnement et de développement durable, il est essentiel de ne pas oublier les crimes et les erreurs du passé pour témoigner auprès des générations actuelles et ne plus jamais avoir à faire face à une telle situation.
Quarante ans après, ce défoliant contenant d’importantes quantités de dioxine continue à faire des ravages (graves malformations infantiles, cancers) tant sur le plan environnemental qu’humain.
Hélas, ce sont les mêmes entreprises qui, après avoir produit l’Agent Orange, continuent de jouer les apprentis sorciers (tel Monsanto avec les OGM) en privilégiant les profits financiers au détriment de la santé des êtres humains, partout dans le monde.
Qu’est-ce que l’Agent Orange ?
C’est l’herbicide le plus utilisé par l’armée américaine durant la guerre du Viêt Nam. Les herbicides servaient à défolier les forêts (afin d’empêcher la guérilla vietnamienne de se cacher), à protéger les installations militaires et à détruire les récoltes ennemies. L’Agent Orange est en fait de couleur rose-brun. Il doit son nom aux bandes de couleur orange peintes sur les barils dans lesquels il était stocké. De même furent baptisés les autres produits chimiques dit « Arc-en-ciel » que sont les Agents Blanc, Bleu, Rose, Vert et Pourpre.
Pourquoi l’Agent Orange est dangereux pour l’homme ?
Deux tiers des herbicides utilisés pendant la guerre du Viêt Nam, notamment l’Agent Orange, contenaient de l’acide 2,4,5-T connu pour ses capacités défoliantes. Or les procédés de fabrication industrielle de cet acide, élaborés pour maximiser les profits, eurent pour conséquences de le contaminer par des doses plus ou moins importantes d’une substance extrêmement toxique : la 2,3,7,8-tétrachlorodibenzo-para-dioxine (TCDD).
Combien de dioxine a-t-on déversé au Viêt Nam ?
La quantité de dioxine variait selon les herbicides. Selon les dernières estimations,* entre 1961 et 1971, l’armée américaine aurait à elle seule déversé près d’une centaine de millions de litres d’herbicides contenant plus de 300 kilos de dioxine TCDD, sur des centaines de milliers d’hectares, dans le sud et le centre du Viêt Nam principalement, mais aussi au Laos et au Cambodge. Or les normes internationales fixent les seuils limites de dioxine en millionièmes de millionième de gramme par personne.
Quels sont les effets de la dioxine ?
La dioxine est une substance cancérigène et tératogène (produisant des malformations au stade fœtal). Elle provoque des maladies de peau, des cancers, et porte atteinte au système immunitaire, reproductif et nerveux.
Combien de personnes ont-elles été touchées par les herbicides au Viêt Nam ?
Selon les dernières estimations,* de 2,1 à 4,8 millions de Vietnamiens ont été directement exposés aux herbicides entre 1961 et 1971, auxquels il faut ajouter un nombre inconnu de Cambodgiens, de Laotiens, de civils et militaires américains, et de leurs divers alliés (australiens, canadiens, néo-zélandais, sud-coréens). Mais le nombre total de victimes va sans doute au-delà car la dioxine se transmet par la chaîne alimentaire : lait maternel, lait de vache, consommation de viandes ou de poissons contaminés.
Qu’est-ce que l’opération Hadès ?
C’est le nom originel de l’opération américaine de défoliation par voie aérienne au sud du Viêt Nam, qui fut ordonnée sous la présidence Kennedy en 1961, et se termina en 1971. Comme le nom Hadès fut jugé trop « explicite » (Hadès est le dieu des morts), il fut changé peu après en opération « Ranch Hand » (Ouvrier agricole).
Les États-Unis ont-il admis leur responsabilité pour les dommages causés par les herbicides au Viêt Nam ?
Non, ils réfutent toujours toute responsabilité, et n’ont jamais versé le moindre centime aux victimes vietnamiennes, cambodgiennes et laotiennes de l’Agent Orange.
Les victimes de l’Agent Orange ont-elles porté plainte ?
Les vétérans américains victimes de l’Agent Orange ont porté plainte contre les fabricants de cet herbicide chimique, car ils n’avaient pas le droit de poursuivre le gouvernement américain. En 1984, ces industriels ont signé un accord à l’amiable avec les associations de vétérans : en échange de l’arrêt de toute poursuite, les fabricants ont versé 180 millions de dollars à un fonds de compensation aux vétérans américains victimes de l’Agent Orange. Début 2004, l’association vietnamienne des victimes de l’Agent Orange a porté plainte contre les fabricants de ce qu’elle considère être un poison. Les deux principaux producteurs étaient Dow Chemical et Monsanto. Fin février 2009, la Cour suprême des États-Unis a rejeté la requête des victimes vietnamiennes et américaines.
La dioxine, problème passé ou actuel ?
Trente cinq ans après la fin de la guerre, les maladies et symptômes liés à la dioxine sont toujours présents au Viêt Nam, et dans certaines zones, il reste une quantité considérable de dioxine. On compte aujourd’hui trois générations de Vietnamiens touchées par les herbicides.
La dioxine, problème local ou mondial ?
La dioxine n’est pas un problème qu’au Viêt Nam. En effet, plusieurs activités industrielles courantes occasionnent la production de dioxine, notamment la combustion d’ordures ménagères et le blanchiment de pâte à papier. L’accident industriel de Seveso en Italie (1976) témoigna des dangers de la dioxine dans le monde entier.
* J.M. Stellman, S.D. Stellman, R. Christian, T. Weber et C. Tomasallo, « The extent and patterns of usage of Agent Orange and other herbicides in Vietnam », Revue Nature, Volume 422, Avril 2003.
L’année 2010 avait été déclarée "Année mondiale de la biodiversité"...
Or les épandages d'Agent Orange constituent le plus grand écocide du vingtième siècle...
Avez-vous entendu parler de ce scandale sanitaire dans les médias ?
Il est navrant de constater que le sujet relève encore du tabou, relayé quasi exclusivement (à de rares exceptions près) par l'Internet. Qui osera en parler dans les médias grand public ? Qui osera montrer l'extraordinaire travail des photojournalistes ? Nous vous tiendrons informés sur cette page des réponses que nous avons reçues... comme bien sûr de l'absence de réponse des rédactions et journalistes contactés. Car qui ne dit mot participe au crime.
Quelques réponses à nos sollicitations...
Vous ne trouverez pas le livre dans les rayons Librairies des magasins Nature & Découvertes; la responsable des Achats de Livres de la chaîne nous a adressé cette explication pour justifier son choix:
« ... malgré sa qualité, (l'ouvrage) ne correspond pas à l’orientation que nous souhaitons donner à nos magasins. »
M. Denis Cheyssoux nous a dit ne pas pouvoir parler de ce dossier dans son émission "CO2, mon amour", car le format (1 heure chaque semaine, le samedi à 14h) ne s'y prêtait pas, et par ailleurs, il juge le sujet... trop "anxiogène" !
Nous avons contacté M. Matthieu Vidard, dont l'émission quotidienne "La tête au carré" sur France Inter s'occupe tout particulièrement de sciences et de technologies; en effet, il nous apparaît évident que l'élaboration puis l'utilisation de l'Agent Orange sous le contrôle de "scientifiques de la mort" posent à tout le moins des questions éthiques d'une importance considérable, qui méritent que l'on s'attarde sur cette perversion de la Science... Il n'a même pas daigné nous répondre !
À suivre...
NB: Cette association n'est malheureusement plus active, et son site n'a pas été maintenu...
Nous vous invitons à vous informer des actualités en lien avec l'Agent Orange sur le site
Agent Orange Vietnam.org
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NOUVEAU:
Un livre jugé "indispensable" par France-Inter.
Voilà qui réjouira tous ceux qui connaissent le sujet - ils sont encore, malheureusement, une infime minorité en France :
Après la diffusion de l'excellente "Transversales" de la RTBF, c'est la deuxième fois qu'une radio nationale consacre une émission entière pour parler de ce problème (écologique, sanitaire, humain) aussi grave que méconnu. Comme les journalistes de la RTBF, M. Patrick PESNOT se base largement sur le livre d'André BOUNY et réussit le tour de force de synthétiser - en 26 minutes passionnantes - les informations les plus importantes sur la plus grande guerre chimique de tous les temps. Nous vous invitons à l'écouter.
Double événement médiatique en novembre : l'Agent Orange est le sujet principal d'une émission de la RTBF, et l'auteur du livre est également l'invité d'une chaîne de télévision française (France3 Sud).
* Transversales, l'émission de reportages de la rédaction de la RTBF, la première chaîne de radio nationale belge, a diffusé un long et remarquable travail sur les conséquences de l'épandage des défoliants chimiques, à une heure de grande écoute (le samedi de 12 à 13 heures). Le reportage se base en grande partie sur le livre d'André Bouny, qui est par ailleurs interviewé, de même que le photographe belge Olivier Papegnies. Les radios françaises oseront-elles également s'intéresser à ce gigantesque problème écologique et sanitaire, doublé d'un immense scandale judiciaire, dans un futur proche ? Nous l'espérons, mais nous sommes malheureusement sceptiques... En attendant que les journalistes français fassent leur travail d'information, nous vous invitons à écouter l'émission de ces courageux reporters belges... Elle est maintenant archivée sur notre site (sur le lecteur audio ci-dessus). Un grand bravo à MM. André Zaleski, Marc Molitor, Jean-Marc Turine, Ludovic Vanpachterbeek et Irvic d'Olivier.
* Après la diffusion d'un premier reportage sur son livre dans le JT régional (Quercy-Rouergue) de France3, André Bouny est l'invité de l'émission "Le Grand Témoin du Dimanche Soir", sur France3 Sud, le dimanche 21 novembre, de 19 à 20 heures.
* Cet ouvrage a été choisi par la rédaction de la Revue écologiste S!lence, qui en a fait son "Livre du Mois",
(N°382, de Septembre 2010).
* La Fondation GoodPlanet de Yann Arthus-Bertrand, offre une tribune libre à André Bouny pour parler de l'Agent Orange: cliquez ici pour la lire en français, et là pour la lire en langue anglaise.
* À lire également l'interview de l'auteur par Silvia Cattori :
VIÊT NAM : L’AGENT ORANGE TUE ENCORE :
Bébés monstrueux, cancers, pays dévastés, est-ce cela notre héritage ?
=> Le livre a fait l'objet de bien d'autres recensions et articles dans la presse française, mais faute de disponibilité, nous n'avons pas pu les mettre en ligne...
Regardez L'INTERVIEW de l'auteur réalisée par René BALME (Vivé Télé) :
(Durée 60 minutes). Si cette vidéo ne s'affiche pas correctement dans le cadre ci-dessus, elle est disponible sur le site de la TV participative Vivé Télé, ici.
Nous vous invitons à voir L'Empire du Milieu du Sud, l'excellent film de MM. Jacques Perrin et Eric Deroo. Si cette œuvre sensible n’aborde pas le sujet de l’Agent Orange, (ce que l'on peut regretter), elle a entre autres mérites celui de poser les bases historiques nécessaires pour comprendre les immenses problèmes inhérents à ce poison. Nous nous réjouissons donc de sa sortie au cinéma, fin novembre 2010, et récemment en DVD.
En voici la bande-annonce:
Par ailleurs, suite à leur lecture du livre de M. Bouny, MM. Stéphane Hessel et Jacques Perrin ont rejoint au sein du CIS (le Comité International de Soutien aux Victimes de l’Agent Orange, créé par l'auteur, parmi d'autres personnalités prestigieuses.
Utilisez la souris pour cliquer sur les liens...
Nous vous invitons à vous informer des actualités en lien avec ce sujet sur le site
Agent Orange Vietnam.org
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Associations (ou Collectifs ou Organismes institutionnels):
- Vietnam/Dioxine, le collectif d’associations soutenant les victimes vietnamiennes de l’Agent Orange (essentiellement à Paris et région parisienne, mais aussi à Lyon, Marseille, Lille, Toulouse et Bordeaux), est partenaire des éditions Demi-Lune.
- Association Vietnam, enfants de la dioxine (à Bry sur Marne).
- Association d’Amitié Franco-Vietnamienne, AAFV (à Montreuil).
- Association Orange : fleurs d’espoir (Val de Marne).
- Association Ad@ly, les amis de Dalat, (à Montpellier).
- Association vietnamienne des victimes de l’Agent Orange/Dioxine (VAVA) : site en vietnamien, avec une partie en anglais.
- Association des vétérans (anciens combattants) états-uniens, VVA (en anglais).
- Campagne états-unienne en soutien des victimes vietnamiennes, VAORRC, (en anglais).
Informations concernant la dioxine par l'Institut National de l’Environnement et de Santé, (NIEHS), en anglais.
Étude de l'EPA (Agence Nationale pour la protection de l’Environnement), en anglais: « Exposure and Human Health Reassessment of 2,3,7,8-Tetrachlorodibenzo-p-Dioxin (TCDD) and Related Compounds National Academy Sciences (NAS) Review Draft ».
Étude de l'Office of Public Health and Environmental Hazards (OPHEH, Bureau de la Santé publique et des risques environnementaux), dépendant du ministère des Affaires des Vétérans US, (en anglais).
Site du groupe Hatfield Consultants qui étudia l’impact de la dioxine au Viêt Nam, au Cambodge et au Laos.
Site du Dr Jeanne Mager Stellman qui établit le rapport du même nom, (en anglais), avec un lien vers l’article de présentation (résumé) du numéro 422 du journal Nature daté du 17 avril 2003, (en anglais).
L’article scientifique complet publié par Nature, (payant, en anglais) : « The Extent and Patterns of Usage of Agent Orange and Other Herbicides in Vietnam ».
Site de l’Université de Yale traitant des effets des agents utilisés par les militaires au Viêt Nam, (en anglais).
Site de l'Académie nationale des Sciences, Washington, (en anglais).
Site de l’Institut de Médecine, dépendant de l’Académie Nationale des Sciences – ANS – (à Washington), et rapports sur la santé des vétérans exposés à l’Agent Orange, (en anglais).
Les publications de l’ANS (Washington):
Étude du Service de Recherche du Congrès US, (en anglais) : « Vietnamese Victims of Agent Orange and U.S.-Vietnam Relations », de Michael Martin, in Congressional Research Service, Mai 2009.
Site présentant une partie des documents des trois procédures intentées par les victimes vietnamiennes aux États-Unis.
Enfin, un document extrêmement important évoqué dans le livre: le rapport de l’amiral Zumwalt, commandant de l’US Navy au Viêt Nam, sur l’opération Ranch Hand et ses effets sanitaires sur les soldats états-uniens, (en anglais).
Le Fond pour la réconciliation et le développement, (en anglais), met en ligne un dossier sur l’Agent Orange, ainsi que de très nombreux documents, comme celui-ci en PDF : « Recent Dioxin Contamination From Agent Orange in Residents of a Southern Vietnam City », JOEM (Journal of Occupational and Environmental Medicine), Vol 43, N°5, Mai 2001.
- Les habitants de Biên Hoa exposés à la dioxine par la nourriture, (en anglais), « Food as a Source of Dioxin Exposure in the Residents of Bien Hoa City, Vietnam », JOEM (Journal of Occupational and Environmental Medicine), Vol 45, N°8, Août 2003.
- Lieux où furent testés les herbicides et l’Agent Orange, en dehors du Viêt Nam, (en anglais),
« Agent Orange usage Outside Vietnam », 2006.
- Informations sur l’Agent Orange au Laos, ( en anglais), « Agent Orange in Laos: Documentary Evidence », Andrew Wells-Dang, Août 2002.
- Informations au sujet des effets de l’Agent Orange au Cambodge, (en anglais), « Agent Orange in Cambodia: The 1969 Defoliation in Kampong Cham », Andrew Wells-Dang, Août 2002.
- Document sur les conséquences environnementales de la guerre « du Viêt Nam » dans les 3 pays directement concernés, Cambodge, Laos, et Viêt Nam, (en anglais), « Environmental Consequences of War: Cambodia, Laos, Vietnam »
- Conférence sur l’Environnement au Cambodge, au Laos, et au Viêt Nam, (en anglais).
- Document d’une réunion regroupant les personnalités, activistes et chercheurs, ayant travaillé sur l’Agent Orange, (en anglais), « Agent Orange Research and Policy Update », Juillet 2003, New England.
- Groupe d’études sur le Viêt Nam, (en anglais).
- Documentation sur les effets de l’Agent Orange sur les vétérans néo-zélandais, (en anglais), « Genetic Damage in New-Zealand Vietnam War Veterans, Participants Report », de Louise Edwards, Institute of Molecular BioSciences, Massey University.
- « Agent Orange and the Vietnamese: The Persistence of Elevated Dioxin Levels in Human Tissues », American Journal of Public Health (Journal américain de Santé publique), Vol 85, N°4, Avril 1995, (en anglais).
Il est à noter que la plupart de ces films, bien que récents sont difficilement voire ne sont pas du tout accessibles en DVD ou en français, car ils sont l’œuvre de cinéastes ou documentari